| ASSOCIATION, BÉNÉVOLAT | ACTIVITES | CONCERTS, EXPOS, SPECTACLES | STUDIOS, ACCOMPAGNEMENT |
AGENDA
| Tout afficher | Concerts . Spectacles | Expositions |
| Diffusion adhérents | All Access & Jams | Et aussi... |
Expositions
Nicolas Liégeois "Curiosités" |
|
Vernissage Vendredi 20 Janvier à 19h00 Du 16 Janvier au 4 Février 2017
|
 |
Entre street art et art contemporain, les toiles
intuitives d’un enregistreur du quotidien
Depuis qu’il a posé un stylo sur un cahier pour tracer un trait, cette ligne est devenue la colonne vertébrale de son esthétique plastique. Un cerne noir tentaculaire qui se décline selon les médiums. Nicolas Liégeois ne maîtrise pas le dessin, il lui semble plus difficile de tracer un angle droit que de poser une courbe sur un support. Il voit la courbe comme un dessin à main levée qui ne s’arrête jamais. Sa production est donc abstraite, bien que grâce à ce cerne, des formes identifiables émergent.
Si dans ses dessins, le trait noir est la 1ère chose qu’il appose, dans ses peintures, c’est le dernier élément produit. Avec celle-ci, il bascule vers le grand format. La peinture abstraite devient figurative, notre œil identifie têtes, membres ou encore animaux. Parfois le collage fait son apparition, une manière d’introduire franchement le figuratif. Keith Haring n’est jamais loin. De même que Jean Dubuffet et ses décors de théâtre (enchevêtrement de volumes, sorte de casse-tête…). Nous pouvons citer aussi les totems de la Colombie britannique où les formes sont assemblées verticalement tel un puzzle. Les formes de ce jeune artiste plasticien ont quelque chose d’hypnotique certainement dû à cette répétition de la couleur. Celui-ci intègre également la linogravure à sa pratique, elle exige de lui une technique à laquelle il a échappé pour la peinture.
Nicolas Liégeois suit sa ligne, elle n’est jamais droite et trouve sur son chemin d’autres lignes pour fusionner et produire de nouvelles images, de nouveaux projets. Nicolas Liégeois a le trait prolixe, multiple et infini. Ses œuvres invitent à regarder autrement la réalité.
Si dans ses dessins, le trait noir est la 1ère chose qu’il appose, dans ses peintures, c’est le dernier élément produit. Avec celle-ci, il bascule vers le grand format. La peinture abstraite devient figurative, notre œil identifie têtes, membres ou encore animaux. Parfois le collage fait son apparition, une manière d’introduire franchement le figuratif. Keith Haring n’est jamais loin. De même que Jean Dubuffet et ses décors de théâtre (enchevêtrement de volumes, sorte de casse-tête…). Nous pouvons citer aussi les totems de la Colombie britannique où les formes sont assemblées verticalement tel un puzzle. Les formes de ce jeune artiste plasticien ont quelque chose d’hypnotique certainement dû à cette répétition de la couleur. Celui-ci intègre également la linogravure à sa pratique, elle exige de lui une technique à laquelle il a échappé pour la peinture.
Nicolas Liégeois suit sa ligne, elle n’est jamais droite et trouve sur son chemin d’autres lignes pour fusionner et produire de nouvelles images, de nouveaux projets. Nicolas Liégeois a le trait prolixe, multiple et infini. Ses œuvres invitent à regarder autrement la réalité.
